Château d’eau, reprofilage des pistes villageoises, construction de pont métallique, électrification et extension du réseau électrique, réhabilitation d’écoles dans les localités de Guibéroua, Dignago et Galébré ; financements alloués aux associations de femmes et de jeunes, etc., sont autant de réalisations à l’actif de la secrétaire d’État Myss Belmonde Dogo, au profit des habitants des sous-préfectures citées plus haut. En reconnaissance à toutes ses actions de développement, les populations, comme un seul homme, ont décidé de traduire leur gratitude à l’heureuse donatrice. La place de la République de Galébré a accueilli, le 30 janvier 2021, les festivités marquant la reconnaissance des populations à leur illustre fille, la secrétaire d’État chargée de l’autonomisation des femmes, Myss Belmonde Dogo, par ailleurs député des trois sous-préfectures. Pour l’occasion et s’inscrivant dans la pure tradition bété, les chefs de village des trois sous-préfectures, à savoir Guibéroua, Dignago et Galébré, ont unanimement décidé d’élever Myss Belmonde Dogo au rang de « Woody-Wonon », ce qui signifie en langue locale femme conquérante, femme valeureuse. Et ce, pour montrer l’immensité des actions de développement qu’elle ramène à ses parents. L’intronisation de la secrétaire d’État a vu la participation, outre les chefs traditionnels, des jeunes, des femmes et des cadres. Qui, chacun en ce qui le concerne, a trouvé les mots justes pour exprimer son soutien et son attachement à celle qui traduit en acte le vivre ensemble dans la région. Au nom des populations de Galébré, le docteur Kessié Gnablé Jean Martial a égrené un chapelet d’actes posés par Myss Belmonde Dogo, au profit de ses parents. « …49 associations de femmes ont bénéficié de financement pour des projets à impact rapide, 300 jeunes ont été recrutés dans le cadre du programme emploi jeune initié par le gouvernement… », a rappelé le porte-parole des populations. Qui a engagé les habitants de Guibéroua, Dignago et Galébré à travailler dans une synergie d’actions pour permettre « au député Myss Belmonde Dogo de continuer l’œuvre de développement entamée ».
Marcel Pulaski